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- Ultra Tour du Haut Giffre, 18 juin 2016
- Tête du Danay, 5 juin 2016
- Pointe de Puvat, 21 mai 2016
- Mont Veyrier, 15 mai 2016
- Mont Veyrier, 9 mai 2016
- Tête Pelouse et Trou de la Mouche, 19 avril 2016
- Pointe de Méan Martin, 7 avril 2016
- Trail des Glaisins, le Barman, 2 avril 2016
- Tournette, 26 mars 2016
- Pointe de Mandallaz, 19 mars 2016
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Topo
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La Citadelle, l'Ardéchois Trail (57km) |
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Situation
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massif: Ardèche
départ: Désaignes: depuis Annecy, aller à Chambéry, puis Valence. Traverser Valence, puis le Rhône par Guilherand-Granges. Prendre la D533 en direction de Lamastre puis Désaignes. Se garer dans Désaignes, à la mairie ou au dessus de l'école
>> autre topo depuis ce lieu
carte: 2936O (Le Cheylard) et 2935OT (Le Chambon-Sur-Lignon - Saint-Agreve)
orientation: toutes
| coordonnées GPS: |
lat/lon: 44.9695 N / 4.4462 E |
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UTM: 31T 614044 4980588 |
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Altitudes
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altitude départ: 470m
altitude sommet: 1196m
distance: 57km
dénivellation: 2400m
horaire: 5h à 10h
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Difficultés
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difficulté: F. Pas de grosse difficulté, le parcours se faisant principalement sur des pistes carrossables
matériel: aucun
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Itinéraire
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itinéraire:
remarques: toutes les infos sur le site de l'épreuve http://www.trailardechois.com
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Informations complémentaires
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logement: Gite les 4 Saisons: Grand gîte pour 15 personnes. Toutes les infos sur le site internet
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Description de la sortie
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 date: samedi 2 mai 2015
 participants: Ingrid, Loïc, Grégoire, Jérôme, Raph et François
 conditions: grand ciel bleu et franc soleil presque inespérés vue la pluie annoncée les précédents jours. Avec le temps, la chaleur étaient aussi bien présente.
Les chemins sont sec et ultra roulants
 horaire global: 8h53
 horaires: départ à 8h, la Citadelle à 9h35, Château de Roche Bonne à 10h25, Saint-Jean-Roure à 11h25, la Citadelle à 12h15, Labatie d'Andaure à 14h30, ruines du Château de Rochebloine à 15h35
 distance: 57km
 dénivelée: 2400m
 notes: après le 10km des filles la veille (Anne-Céline, Valentine, Nadège et Céline), premier "gros" trail de la saison avec ce 57km de l'Ardéchois avec Ingrid (sur le 36km), Loïc, Grégoire, Jérôme et Raph (et tous les autres supporters, dont Sandrine la fidèle, même si elle avait pour une fois oublié sa cloche).
Je profite du départ et de ses 500 premiers mètres pour distancer mes compères et pour surtout être devant eux au moins une fois pendant ce trail! ;o) Mais une fois le petit tour de Désaignes fait et la montée vers Chante-Poule enclenchée, les montées sur bitume n'étant pas mon fort, je les laisse filer devant en même temps que le flot des 800 autres traileurs... Il me reste encore 55km à faire, je me fais donc cette première montée tranquillou à mon rythme. Cette montée sur une piste forestière est certes très appréciable car à l'ombre de la chaleur qui s'annonce, mais tout de même un poil ennuyeuse. Comme repérée sur la carte, la première descente sur le Mas sur un single amène enfin un peu de divertissement. J'en profite pour redoubler pas mal de monde, mais un single étant ce qu'il est, je me retrouve vite avec les premières (au final seules) griffures d'arbustes présents sur le côté du chemin...
Cette première petite descente est vite avalée pour laisser place à la montée à la Citadelle; lieu où se trouvent 6 éoliennes que malheureusement nous ne verrons pas, faute à un tracé restant en forêt. Les jambes fonctionnent bien et surtout l'estomac est en place, ce qui en soit est une excellente nouvelle. Arrivé à La Citadelle, la suite doit nous amener vers le Château de Rochebonne. Ce n'est que vers le 13ème km que nous sortons enfin de la forêt, laissant apercevoir certains sommets d'Ardèche. Je m'arrête pour prendre une photo. Deux coureurs me doublent et tout deux me glissent "c'est le Gerbier de Jonc". Je me dis que ce doit être LE sommet du coin et effectivement, après renseignements pris, outre sa forme caractéristique, il s'agit aussi des sources de la Loire. Je reprends ma course, les jambes tournent vraiment bien (la descente aidant bien pour cela) et commence à rattraper beaucoup de monde. Nous arrivons enfin AU lieu de la course: le Château de Rochebonne. Effectivement, les écrits n'ont pas menti. Ce château offre vraiment un joli paysage. Je m'arrête une fois de plus pour prendre des photos (je ne suis pas là non plus pour faire un chrono) mais cet arrêt me fait perdre tout l'avantage repris dans la descente; un flot de coureurs me repassent devant. Le parcours passe carrément dans le château, chose assez sympa, mais malheureusement ça bouchonne... (argh! si je ne m'étais pas arrêter pour des photos... oui mais dans ce cas-là je n'aurais eu aucune photo, donc...) La suite se passe sur un single assez technique (enfin!) mais ça bouchonne, ça bouchonne... Je ronge mon frein et une nouvelle piste permet enfin de reprendre un rythme correct et débouche surtout 1km plus loin sur le 1er ravito!
Buts de ce ravito à Saint-Jean-Roure: ne pas trop traîner et surtout bien recharger les gourdes; le prochain ravito "annoncé" étant à plus de 23km alors que la chaleur commence à être de plus en plus présente. Je pensais m'être régulièrement hydraté mais en sortant la poche à eau, force est de constater que j'aurais pu faire mieux... Je refais le plein en eau et nourriture (excellent saucisson) et ne traîne pas plus que ça. Mais la machine a du mal à se remettre en route. Le parcours passe encore sur de la piste forestière en légère montée, chose qui n'est vraiment pas mon fort. De la descente arrive enfin mais encore et toujours sur cette piste forestière qui me paraît quasi interminable. Nous sommes en forêt, je n'ai aucun moyen de repère pour savoir où je suis, ce qui est en soit accentue encore plus ma lassitude. Heureusement la séparation des parcours du 36km et du 57km arrive (c'est bon, je sais où j'en suis maintenant!), la pente s'accentue un peu, les jambes repartent et suite à une bifurcation à ne pas louper (il s'avérera par la suite que pas mal de monde l'a loupée...), je trouve enfin un terrain de jeu plus sympa: c'est raide, le sentier est peu marqué et est jonché de bois et autres cailloux. Je me suis dans mon terrain de jeu favori, je laisse filer les jambes, mais malheureusement, une fois de plus ça ne dure pas longtemps... Mais ça a au moins le mérite de me réveiller un peu!
La suite du parcours est marqué par trois petites bosses; mon challenge est de bien passer les trois avant le ravito de Labatie-d'Andaure. Ce réveil me permet de super bien passer la première bosse, surtout qu'il fait bien chaud. Je repense encore au Tor et n'oublie pas de me couvrir, l'insolation n'est pas loin... Au sommet de la première bosse, surprise à Sautereaux: un ravito! Dommage qu'il n'ait pas été annoncé plus tôt, j'aurais moins rechargé les gourdes à Saint-Jean-Roure... Mais je ne vais tout de même pas me plaindre d'un ravito, surtout vue la chaleur. Je retrouve alors Grégoire et nous repartons tous les deux. Les jambes tournent à plein régime, l'estomac est au top! Nous sommes deux, c'est toujours plus sympa. De plus, petit amusement du parcours, nous passons sous la D533 en suivant le cour d'eau d'un ruisseau, donc dans un tunnel bien noir et bien étroit. Nous passons de suite de la fraîcheur de ce tunnel à la montée de la 2ème petite bosse sous un vrai cagniard. Ça monte, Grégoire me suit au loin, mais qu'est-ce qu'il fait chaud! Nous retrouvons de nouveau une piste forestière puis une route goudronnée pour la descente de cette 2ème bosse. Grégoire me repasse devant, ça y est les jambes commencent à moins bien tourner. Je monte péniblement la 3ème bosse vers Labatie-d'Andaure et occulte complètement d'admirer ce petit village. Ce n'est qu'une fois dans la descente, juste avant le ravito, que je reprends un peu des forces.
Ce ravito est le pied de la dernière grosse difficulté du jour: la montée vers les ruines du Château de Rochebloine. On nous annonce au ravito une montée raide de 3km. Je ne traîne pas et laisse Grégoire. La montée est bien continue avec des petits sentiers un poil raide: enfin une vraie montée! Il fait chaud mais très vite le ciel se couvre et de rares gouttes tombent. Les ruines se voient au loin et la fin se fait presque à quatre pattes, ce qui change des interminables routes forestières. Sommet des ruines atteintes, enfin plus que de la descente jusqu'à Désaignes! Enfin... c'est ce que je croyais car il y a encore toute une traversée jusqu'à Nozières. Le temps commence à me paraître bien long, surtout que cela se passe le long de la D236, mais au moins, on n'est plus en forêt. Il n'empêche, vivement l'arrivée...
A Nozières, dernier ravito en eau. J'en profite pour ne prendre que le nécessaire en eau et fonce vers la descente. Mais il y a d'abord cette traversée de la Serre de la Suche puis de la Serre de Montgauchy... A Neyramand, enfin la descente arrive! Mais les jambes sont lourdes, la descente n'est pas trop technique, je ne fais que trottiner. Et enfin, Désaignes est là! J'entends au loin les cris des supporters; ce qui me redonne un boost pour "vite" en finir!
Et 8h53 après le départ, j'arrive enfin! Je me m'étais donner comme objectif 9h30, donc je suis dedans. Au final, très joli trail mais dommage que cela se passe la plupart du temps en forêt, laissant peu d'occasion de voir les paysages. Les chemins empruntés étant la plus part du temps des pistes forestières, il faudra revenir une prochaine fois avec le vtt.
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Profil et localisation GPS
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 Statistiques:
longueur: 46.9km
dénivelée positive: 1444m
 dénivelée négative: 1429m
 altitude max: 1189m
 altitude min: 480m
 Télécharger le fichier GPX
Note: suivez le parcours depuis la courbe en passant la souris dessus. Un clic sur la courbe zoomera la carte.
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Photos de la sortie
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la Citadelle et ses éolienne depuis Sautereaux
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le Château de Rochebonne
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Saint-Martin-de-Valamas avec au fond le Gerbier de Jonc et le Mont Mézenc depuis le Château de Rochebonne
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Grégoire passe sous la D533
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Labatie-d'Andaure et son église depuis la montée vers les ruines du Château de Rochebloine
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les ruines du Château de Rochebloine
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vue depuis les ruines du Château de Rochebloine
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